Qui Sommes-Nous ?

Cosmos2001 est une agence d’architecture et d’urbanisme pluridisciplinaire, culture, société, technique, environnement.

Une attitude liée aux travaux de la conférence de Rio :

Pensez autrement, développez durable
Changer sûrement, pensez alternatif

Expérience

  • Le projet en co-conception,
  • Le projet intégré et évalué dans les contextes culturels, sociaux et environnementaux,
  • Le projet dans la durée de sa vie et de ses capacités à évoluer.

Une forte expérience dans trois approches :

Ces trois approches permettent à la fois de prendre en compte :

  • Des espaces urbains aux bâtis mixtes existants pour y intervenir en réhabilitation ou rénovation,
  • Des espaces urbains en friche ou à concevoir avec et pour l’habitant,
  • Des espaces urbains historiques dont les concepts et les logiques économiques initiales sont à exprimer et se réapproprier.

Notre histoire…

Créée en 2003 la société développe jusqu’en 2010 un savoir faire de l’étude d’impact, de la co-conception, et de l’approche participative dans des projets coopératifs.

En 2010 la branche architecture est créée avec Mathieu Faliu a étudié l’architecture en Allemagne et en France, Diplômé Diplom Architekt et Architecte DPLG. Après avoir travaillé pendant dix ans dans de grandes agences internationales, il rejoint cosmos 2001, co fondé avec Christian Faliu.

Installée à Cergy, avec des antennes à Paris, à Josse, à Tours, et à Morlaix (29), où elle est définitivement fixée depuis septembre 2020, dans une architecture de la renaissance qui met en évidence l’intérêt des matériaux naturels, l’ingénierie de l’économie d’échelle, l’esthétisme de la forme et de la fonction.

Notre société, depuis sa création, s’est efforcée, autour de disciplines transversales, de mettre en place des méthodes contextualisées basées sur la participation des habitants, privilégiant trois dimensions :

  • La contextualisation des informations pour une interprétation partagée et appropriée par l’habitant.
  • L’autonomie des projets en agissant sur les économies d’échelles qu’ils induisent.
  • L’étude des contentieux et différences de perceptions ou de points de vue entre acteurs, et aux échelles d’insertion des projets dans leurs contextes culturels, sociaux, techniques, politiques, et environnementaux.

Attentifs à la recherche et au développement nous restituons par phases nos études ce qui permet de théoriser sur notre pratique.
Nous pensons que les missions auxquelles nous répondons sont porteuses d’acquis à restituer à la fois aux territoires sur lesquels nous travaillons, mais aussi dans la préoccupation de conforter leurs liens avec des acteurs partenaires, usagers, utilisateurs, qui antérieurement auraient été, sans doute à plusieurs moments, en concurrence entre eux.
C’est ainsi que nous avons développé des concepts en termes d’urbanisme et d’architecture qui impliquent de nouveaux jeux d’acteurs, et, en particuliers ceux qui mettent en cause les comportements individuels, la valeur d’usage, la prise en compte des contextes et des modes de vie locaux. Cette approche permet d’anticiper les questions d’appropriations du projet vis à vis à la fois des riverains et des futurs habitants, en particulier ceux qui dans la commune introduisent des besoins rendant dépendant à d’autres territoires et confortant un développement de consommateurs.

Nos méthodes, liées aux deux thèmes « ce qui fait système et ce qui fait stratégie », sont conçues pour « comprendre les processus culturels, sociaux, techniques, politiques et phénoménologiques qui les ont créé et porté jusqu’à nous ».

Le quotidien, comme acte, formalise des symboles que nous acceptons pour que les générations futures sachent notre volonté de qualité de projet et en comprennent ses signes.

Or actuellement l’urbanisme comme l’architecture répondent à des cadres de contraintes de rattrapage, et se lisent à travers les signaux déconnectés de leur valeur et trop souvent vide de sens qu’ils produisent, favorisant l’opportunité et le spéculatif.
Les solutions sont portées par les utilisateurs eux-mêmes, ils peuvent à juste titre ne pas dépendre de l’extérieur et avoir les moyens de développer des acquis nouveaux, envisager des processus autonomes, voir d’économies circulaires..
Reformuler les questionnements pour développer de nouvelles logiques d’acteurs, permettre que l’ascenseur social recapitalise la Ville, sont des objectifs qui nous intéressent quant aux politiques professionnelles nouvelles à maîtriser.

L’Architecture naturelle :

Au XXème siècle il y eu dichotomie entre l’existence et la représentation. La dévalorisation de l’existence est une conséquence de la multiplication des technologies. … Quelqu’un a résumé le XXème siècle en en faisant le siècle des agences de publicité. … Pour explorer les infinies possibilités de l’être humain, et non pas celles des agences publicitaires, il faut nous pencher à nouveau sur notre façon de produire de l’Architecture.

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