La demande et la contrainte forcent à penser autrement la relation entre architecte et habitant. le rapport n’est plus dans l’approche globalisée de faire construire, mais plus particulière de savoir comment il est possible d’habiter et où.

Dans ce nouveau rapport d’une nouvelle problématique entre acteur de la demande, de l’écoute, du conseil et de la conception, le temps et les moyens ou modes opératoires utiles, possibles, voir à inventer sont à définir tant pour les responsabilités engagées que pour les processus engagés. Dans ces processus l’acteur initiateur d’une demande ou d’une attente n’est plus seul, mais il est aussi engagé avec ses voisins, riverains, et en général avec l’ensemble du réseau de ses relations sociales, cculturelles, économiques, voir morales, qui vont influencer son et ses modes de vie. En particulier, les fonctions, qu’il sera amené à externaliser, deviendront des freins important à la qualité de la durabilité de son projet.

La relation du bâti aux espaces extérieurs implique d’envisager avec le mode de vie les relations particulières que les parois, réelles membranes permettant isolation, séparation, mais aussi osmose, percolation et interaction, vont avoir à jouer avec tout ce qui constitue le matériel des processus passifs ou des processus d’autonomie. Par exemple le terrain, c’est à dire d’une part la parcelle et d’autre part les données géologiques, géographiques, anthropomorphiques, prend une dimension globale quand à la fonction habiter et à la fonction paysage espace fonctionnel des échelles du biotope.